Chute de cheveux androgénétique chez l’homme

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Ce qu’il faut retenir

  • Chez l’homme, la chute de cheveux d’origine androgénétique représente 97% des cas.
  • Plus elle débute tôt, plus elle risque d’être sévère.
  • Elle ne se stabilise jamais d’elle-même.
  • Plus elle est rapidement traitée, plus son évolution est retardée, voire stabilisée.
  • Si elle n’est pas soignée,  cette perte de cheveux progressive est inéluctable.
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L’évolution de la perte de cheveux chez l’homme

L’évolution de l’alopécie androgénétique emprunte un trajet quasiment immuable. Dès les années 1950, le docteur Hamilton a établi une échelle en sept stades qui fait toujours référence.

  • Stades 1 et 2 : Chez les hommes, la première phase de dégarnissement commence sur les golfes
  • Stade 3 : se poursuit par le vertex (tonsure)
  • Stades 4 et 5 : s’étend sur le dessus de la tête
  • Stades 6 et 7 : s’amplifie enfin, jusqu’à ne plus former qu’une couronne autour du crâne

Témoignage de Florian

Découvrez le témoignage de Florian qui vous explique comment le Centre Clauderer l’a conseillé suite à une importante chute de cheveux.

Pour savoir quelle sera l’évolution de votre propre calvitie

Ci-dessous, examinez bien notre tableau Clauderer, établi à partir de notre expérience. À droite, repérez le stade où vous en êtes. À gauche, repérez votre tranche d’âge. La première flèche rouge vous indique où vous en serez dans 10 ans, les deux flèches suivantes où vous en serez dans 20 ans.

Echelle d'Hamilton (alopécie)

Le rythme de la perte de cheveux

D’une calvitie naissante à une calvitie confirmée, le rythme de progression est variable d’un homme à l’autre.

Certains seront chauves à 30 ans (s’ils ne font rien), d’autres seront à peine dégarnis à 70 ans. Tout dépendra de l’intensité du facteur génétique et de la façon dont chacun y réagira. La précocité des premiers symptômes de calvitie est toujours un facteur déterminant : c’est entre la fin de la puberté et 35 ans que les androgènes exercent le plus fortement leur influence négative sur les cellules du cuir chevelu. L’influence est moindre par la suite et doit normalement diminuer peu à peu, après 45 ans. La présence d’antécédents familiaux (votre père, grands-pères, oncles, mais aussi mère, grands-mères ou tantes) est un facteur important pour le diagnostic.

Conclusion

Plus tôt vous démarrez un traitement, plus vous avez de chances de garder vos cheveux, quel que soit votre âge.

Scénarios types

On peut dégager quatre scénarios types, du plus sévère au plus bénin. Vous vous reconnaîtrez sans doute dans l’un d’eux :

Scénario 1

La chute de cheveux est continue, dès la fin de l’adolescence (17, 18 ans), parfois même avant. Si vous ne réagissez pas très vite, la calvitie vous guette vers la trentaine

Scénario 2

Les cheveux tombent par à-coups, souvent à l’occasion d’un stress ponctuel (examen, problème professionnel…). Après chaque période de chute, vous avez l’impression que c’est terminé mais cela reprend quelque temps plus tard. Les repousses se font plus rares et, vers 25 ans, vous prenez conscience d’une calvitie naissante.

Scénario 3

Au début, la perte de vos cheveux s’effectue de façon sournoise, souvent sans que vous n’y preniez garde. Mais, vers 30 ans, vous observez un recul frontal sensible et votre chevelure est nettement moins fournie au niveau du vertex et du dessus de la tête.

Scénario 4

Dans les cas les moins marqués, l’alopécie est encore plus insidieuse. Elle commence vers 20 ans de façon si progressive que l’intéressé ne se rend pas compte de l’éclaircissement très graduel de sa chevelure. Il ne s’aperçoit d’un certain manque de cheveux que vers 30 ou 35 ans.  

Causes de la perte de cheveux androgénétique chez l’homme

Réceptivité génétiquement programmée

La cause de votre perte de cheveux vient d’une réceptivité génétique de votre cuir chevelu à l’action des androgènes. Androgène est le terme générique pour désigner l’ensemble des hormones sexuelles mâles, la principale étant la testostérone. Ces hormones sont sécrétées à 95 % par les testicules et à 5 % par les glandes surrénales.

Plus précisément, les androgènes sont transformés – au niveau du cuir chevelu – en une nouvelle hormone, la DHT (dihydrotestostérone). Cette hormone est le résultat  de la synthèse des androgènes par une enzyme située au niveau du cuir chevelu : la 5-alpha réductase.

Il faut bien comprendre que ce n’est pas la quantité de testostérone sécrétée qui est en cause mais bien la manière plus ou moins «vorace» dont celle-ci est captée, puis transformée en DHT, par les follicules génétiquement programmés. Autrement dit, il s’agit d’un trouble local, limité au follicule pileux. En terme médical, on parle d’une maladie du «récepteur».

La DHT entraîne les follicules pileux dans un processus physiologique de vieillissement prématuré. Son action consiste à accélérer le cycle de vie de certains cheveux. Cette accélération impose aux follicules pileux et aux racines une cadence de production infernale, les obligeant à «bâcler» leur travail et à fabriquer des cheveux de plus en plus fins et courts.

A terme, épuisés, les follicules se miniaturisent et finissent par ne produire qu’un fin duvet, puis plus rien du tout. La rapidité du développement de la calvitie dépend donc en grande partie de la réceptivité des follicules pileux aux androgènes, laquelle est inscrite dans le capital génétique.

Et pour l’anecdote : 

Les hommes chauves ont longtemps cru (et certains le croient encore) que leur calvitie était due à une production d’hormones sexuelles supérieure à la moyenne. Ceux qui perdaient leurs cheveux y trouvaient leur compte, la croyance populaire leur prêtant une puissance virile hors du commun. C’était une heureuse consolation, mais c’est faux. On sait aujourd’hui que ce n’est pas la quantité d’androgènes sécrétée qui provoque la perte de cheveux, mais la transformation de ces derniers en DHT.

Causes additionnelles

Le facteur aggravant le plus courant en cas d’ alopécie androgénétique est lié à des problèmes d’ordre psychologique : stress chronique, choc émotionnel violent, ou même stress dû à la perte des cheveux elle-même…

Sont également fréquemment invoqués : un excès de mauvais cholestérol, certains traitements médicaux, un régime alimentaire mal équilibré, toutes ces causes peuvent ralentir la croissance normale des cheveux sur un terrain androgénétique

Quels traitements pour la chute de cheveux chez l’homme ?

Du shampooing anti-chute à la greffe capillaire, le marché abonde en propositions de traitement contre la perte des cheveux chez les hommes.

Aucun shampooing ne peut être considéré comme un traitement anti-chute : le cheveu naît dans un follicule pileux situé sous la peau. Comment croire qu’un shampooing qui, par définition, reste en surface, va pouvoir agir sur la croissance du cheveu ? Néanmoins, un shampooing mal adapté à la peau de votre crâne peut être dommageable : trop abrasif il peut entraîner une desquamation plus ou moins prononcée (pellicules), des démangeaisons (la peau « tire ») …; trop doux, le shampooing ne va pas remplir son office et, sur un épiderme mal lavé, les pores risquent de se boucher et d’empêcher la bonne pousse des cheveux.

Souvent conseillés aux hommes pour traiter leur chute de cheveux, des médicaments tels que le Minoxidil ou le Finastéride et ses dérivés ont fait leurs preuves contre l’alopécie. Attention cependant aux effets secondaires possibles.

Fréquemment pratiquée chez l’homme, la greffe capillaire est souvent envisagée comme l’ultime recours, lorsque tout le reste a échoué. Cette technique a beaucoup évolué en quelques années et elle est largement pratiquée. Avant de recourir à une greffe capillaire, il est fortement conseillé de comparer les types de prestations proposées pour éviter d’éventuelles déconvenues

Qualité et sécurité

Nos traitements

Nos traitements naturels permettent de lutter efficacement contre l’alopécie chez l’homme.

C’est ainsi que le Centre Clauderer propose depuis plus de 50 ans des traitements naturels efficaces contre la calvitie. Après un diagnostic approfondi, nous saurons vous conseiller le programme de soins le plus adapté pour stimuler la repousse des cheveux

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Fabriqué en France

Nos sérums

Aujourd’hui, le Centre Clauderer met donc à votre disposition des sérums (N° 6R et N° 7R notamment)  : ces Sérums ont démontré lors de tests in-vitro (cf étude du Dr Morot, docteur en biologie cellulaire, CHU Besançon) que leur action était beaucoup plus rapide et leurs résultats plus efficaces que le Minoxidil à 5%.

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La DHT
divise par 2 la croissance naturelle du cheveu
(cercle vicieux, affaiblissement progressif inéluctable)
Les sérums N°6R et 7R,
les cellules du cheveu sont non seulement protégés contre les effets négatifs de la DHT et se développent 3 fois plus vite qu’avec le médicament  anti-chute le plus prescrit (Minoxidil 5 %) et le phénomène s’accélère au fil du temps (cercle vertueux).
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  • Composés d’huiles essentielles, d’extraits végétaux et de vitamines

Une gamme complète de produits naturels anti-chute de cheveux

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Les réponses à vos questions sur la chute des cheveux chez l’homme

Comment savoir si c’est une alopécie androgénétique ?

L’alopécie androgénétique est une forme courante de perte de cheveux, souvent reconnue par sa progression caractéristique. Chez les hommes, elle commence généralement par le recul de la ligne des cheveux aux tempes, créant une forme en « M ». Au fil du temps, la calvitie peut s’étendre au sommet du crâne. 

Chute de cheveux : à quel âge les hommes commencent-ils généralement à présenter des symptômes ?

Bien que cela varie d’un individu à l’autre, de nombreux hommes commencent à remarquer les premiers signes dans la vingtaine ou la trentaine. Cependant, il est courant que certains ne manifestent ces symptômes que plus tard, dans la quarantaine ou la cinquantaine.

L’alopécie androgénétique chez l’homme est-elle différente de l’alopécie androgénétique chez la femme ?

La chute de cheveux ne se manifeste pas de la même manière chez l’homme et la femme. Chez les hommes, elle est souvent associée à une calvitie marquée. En revanche, chez les femmes, l’alopécie se traduit généralement par un affinement des cheveux, en particulier au sommet du crâne, sans recul marqué de la ligne des cheveux.

Peut-on prévenir la chute de cheveux chez l’homme ?

Il est difficile de prévenir complètement la chute de cheveux en raison de sa forte composante génétique. Cependant, certaines mesures, comme l’adoption d’une bonne routine de soins capillaires, d’une bonne hygiène de vie et la gestion du stress, peuvent contribuer à ralentir sa progression. Des médicaments comme le Minoxidil et le Finastéride ont également été développés pour traiter et potentiellement retarder la progression de la chute de cheveux chez les hommes.

Tous les hommes à antécédents familiaux développeront-ils cette alopécie ?

Pas nécessairement. Bien que la génétique joue un rôle majeur, il n’est pas garanti que tous les hommes avec des antécédents familiaux développeront une calvitie.

La greffe de cheveux est-elle une solution pour la chute de cheveux chez l’homme ?

La greffe de cheveux est une solution proposée pour de nombreux hommes souffrant d’alopécie androgénétique. La procédure implique le prélèvement de cheveux d’une zone du cuir chevelu résistante à la DHT et leur transplantation dans des zones dégarnies. Avec l’évolution des technologies, des techniques comme l’extraction d’unités folliculaires (FUE) et la Direct Hair Implantation (DHI) ont été développées, offrant des résultats naturels et durables. Toutefois, il est essentiel de consulter un spécialiste expérimenté pour obtenir les meilleurs résultats et de comprendre que, bien que la greffe de cheveux puisse restaurer la chevelure, elle ne stoppe pas la progression naturelle de l’alopécie.

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Jean-François Cabos

Jean-François Cabos est le créateur d’une méthode unique de soin du cheveu élaborée à l’issue des recherches qu’il a coordonnées et qui ont donné lieu à la publication du livre Cheveux, Racines de Vie avec Hélène Clauderer aux éditions Robert Laffont (Collection “Réponses/ Santé”).