Calvitie masculine précoce : quelles solutions ?

La chute de cheveux touche les hommes de plus en jeunes d’après plusieurs études et les Spécialistes du Centre Clauderer peuvent témoigner que le phénomène est bien réel (cf notre article Jeune et chauve : mythe ou réalité). 

C’est habituellement à partir de 45-50 ans que les hommes constatent une perte de cheveux significative mais, malheureusement, les plus jeunes peuvent aussi remarquer les signes caractéristiques d’un début de calvitie :

• les golfes temporaux se creusent
• le vertex (la “tonsure”) est de plus en plus clairsemé
• la ligne frontale recule

En parallèle, on observe une perte de densité capillaire, les cheveux s’affinent, le crâne se dégarnit progressivement.

Cette description illustre les conséquences de l’alopécie androgénétique masculine, qui va toucher la grande majorité des hommes, y compris dès la puberté. Or, même si cette situation parait inéluctable, irréversible de par son caractère héréditaire, de nombreuses solutions existent pour – sinon stopper totalement – du moins prendre en charge la perte de cheveux dès l’apparition des premiers symptômes.

Ici, Clauderer vous propose un aperçu des principales solutions qui s’offrent aux jeunes hommes inquiets de perdre trop leurs cheveux. Bien entendu, certaines des solutions peuvent répondre à la problématique d’une perte de cheveux en général, d’origine androgénétique ou autre, chez l’homme comme chez la femme. Notre diagnostic personnalisé vous apportera une réponse précise et détaillée sur les solutions les plus adaptées à votre cas.

Calvitie précoce : premières recommandations

Tout d’abord, si l’on constate uniquement quelques cheveux qui tombent chaque jour, inutile de stresser outre mesure. En effet, tout le monde perd des cheveux tous les jours et c’est tout à fait normal. En revanche, si vous observez une chute de cheveux massive (plus de 100 cheveux/jour) et qui ne s’arrête pas après quelques semaines, alors il faut agir sans attendre.

Pour un jeune homme, le fait de perdre ses cheveux peut avoir des conséquences sociales importantes telles que repli sur soi, absence de vie sociale et affective, difficulté à s’intégrer dans la vie professionnelle. Une anxiété chronique peut alors s’installer.

D’abord, on peut consulter un professionnel de santé pour s’assurer que l’on ne souffre d’aucune carence grave ou maladie, auquel cas, un traitement médical adapté devra être prescrit. 

Ensuite, quelques actions de bon sens comme revoir son alimentation et son hygiène de vie (moins de kébabs et plus de sport !), choisir avec attention ses produits capillaires (moins mais mieux), sont des mesures simples, efficaces et faciles à mettre en oeuvre. Éventuellement, une cure de vitamines aux actifs dédiés apportera le supplément d’énergie nécessaire à une meilleure santé du cheveu.

Calvitie précoce : solution médicamenteuse

Souvent le premier réflexe en cas de chute excessive des cheveux est de se tourner vers un professionnel de santé, médecin généraliste ou dermatologue. Si aucun problème médical n’est identifié, la réponse apportée est souvent de prescrire du Minoxidil ou ses dérivés, en lotion, sérum ou comprimés. Si l’efficacité de ce produit est généralement avérée, il ne faut pas oublier quelques conseils et mises en garde :

• en application topique (c’est-à-dire directement sur le cuir chevelu), l’alcool contenu dans le produit peut entrainer pellicules, cuir chevelu qui démange ou aspect poisseux des cheveux.
• une fois démarré, c’est un traitement qu’il faut envisager « à vie », au risque d’en perdre tous les bénéfices dès que l’on arrête les applications. Souvent, une chute de cheveux brutale intervient à l‘arrêt du traitement, proportionnelle au dosage et à la durée d’application, c’est l’effet rebond.
• attention aussi à l’effet de seuil : on constate fréquemment que le produit perd en efficacité après quelques années. 
• d’autres effets secondaires indésirables ont été répertoriés (cf dictionnaire Vidal https://www.vidal.fr/medicaments/substances/minoxidil.html) : migraines, prise de poids, nombreux problèmes dermatologiques comme douleurs du cuir chevelu, dermatite, changement de couleur et/ou de texture du cheveu.

Pour toutes ces raisons, a fortiori si vous êtes jeune, nous vous recommandons la plus grande prudence avant de vous engager pour de (très) longues années.

Calvitie précoce : la chirurgie

Les greffes capillaires connaissent un réel engouement notamment auprès des jeunes générations qui n’éprouvent aucun complexe à évoquer leur opération avec leurs proches et même avec leurs collègues. Cette pratique a non seulement gagné en popularité mais encore a-t-elle nettement progressé en termes de techniques et de résultats. Aujourd’hui, la micro-greffe permet un résultat très naturel.

Malgré tout, les douleurs post-opératoires demeurent, le budget est conséquent et les charlatans rôdent, aussi il est prudent de bien se renseigner avant d’arrêter son choix sur tel ou tel praticien car les résultats sont irréversibles.

Pour les plus jeunes, dans le cas d’une greffe servant à masquer les premiers effets d’une alopécie androgénétique, il faut comprendre que :

• une greffe de cheveux ne stoppe pas la chute de cheveux
• la zone donneuse doit être suffisamment fournie pour permettre un prélèvement homogène et esthétique car les greffons prélevés ne laisseront place à aucune repousse sur cette zone
• la zone donneuse doit être suffisamment dense pour une autre raison : en cas de progression rapide de la calvitie, on peut être tenté par une nouvelle opération mais y aura-t-il assez de cheveux disponibles ? 
• plus l’on démarre tôt, plus il est difficile de prédire l’aspect qu’aura la chevelure 10 ans plus tard. Pour un résultat naturel et  harmonieux, le chirurgien devra imaginer la progression possible de la chevelure et c’est plus facile sur un sujet de 35 ans que sur un sujet de 20 ans. En effet, le rythme de la calvitie commence à se stabiliser vers 30-35 ans.
• Le facteur psychologique n’est pas anodin non plus. Choisir de modifier son apparence et accepter le résultat  – il n’y a pas de retour en arrière – nécessite de bien se connaître et d’y réfléchir longuement avant de se lancer.

Calvitie précoce : compléments capillaires

Dans ce domaine aussi, les mentalités et les techniques évoluent. Fini le temps de la moumoute disgracieuse qui suscitait surtout les moqueries ! Les compléments capillaires ont gagné en popularité depuis quelques années et en parler n’est plus un sujet tabou entre hommes. Il faut dire que les produits proposés aujourd’hui sont confondants de réalisme, faciles à vivre au quotidien et séduisent à ce titre les plus branchés des millenials.

Autre avantage : par définition, cette solution est réversible et modulable. Le seul inconvénient majeur est la nécessité d’un entretien régulier et contraignant par un professionnel dûment formé et, donc, son coût élevé.

Calvitie précoce : médecine esthétique

PRP, Laser, exosomes,…ces techniques de médecine esthétique gagnent du terrain et peuvent séduire par leur côté relativement indolore entre autres. Néanmoins, leur coût reste dissuasif pour beaucoup et, à ce stade, les résultats demeurent aléatoires, peu d’études à grande échelle ayant démontré leur effet positif sur la chute de cheveux à long terme. 

Calvitie précoce : le pouvoir des plantes

Et si la solution contre la calvitie précoce venait du monde végétal ? 

Certaines plantes sont connues de longue date pour avoir des effets bénéfiques sur la pousse des cheveux : romarin, huile de ricin,… Mais c’est lorsque l’on parvient à associer leurs principes actifs que l’on obtient un cocktail anti-chute particulièrement efficace : les effets sont démultipliés.

Le Centre Clauderer a mis au point des concentrés performants aux actifs puissants qui agissent au coeur du follicule pileux afin que ce dernier génère des cheveux plus forts, plus beaux, plus longtemps. Ces sérums anti-chute de cheveux s’appliquent sur le cuir chevelu, seul ou en synergie avec d’autres produits de soin Clauderer, en fonction de la problématique de chacun (pellicules, cuir chevelu gras,…). Tous les produits ont fait l’objet d’études et de tests scientifiques poussés qui ont démontré leur efficacité à long terme. 

 Les sérums anti-chute Clauderer offrent plusieurs avantages lorsque l’on commence à perdre ses cheveux très tôt :

• simples et faciles à utiliser
• pas d’effet indésirable notoire ou d’accoutumance
• synergie possible avec d’autres solutions : composés d’extraits de plantes (huiles essentielles et huiles végétales) et de vitamines, les sérums Clauderer peuvent tout à fait compléter un traitement initial à base de Minoxidil ou bien booster la zone donneuse et la zone receveuse avant une greffe capillaire. Après la greffe, pour dynamiser les jeunes greffons, le sérum sera aussi un allié de choix.

Alors, pourquoi attendre ? La nature vous veut du bien, profitez-en !